… Et la caravane passe !!!

Ensemble avec toutes et tous !!!

Un an après le début de notre mandature, notre action s’inscrit dans une dynamique constructive et constante : travailler pour les intérêts des salariés, avec des résultats concrets et une présence active à tous les niveaux.

Pendant que certains s’égarent ou veulent nous égarer dans les querelles et les diversions, nous avons choisi de rester concentrés sur l’essentiel : défendre nos droits, porter les revendications des salariés, améliorer notre quotidien à tous, et construire ensemble un avenir plus juste.

Nous n’avons aucun problème à travailler avec d’autres syndicats, dès lors que cela va dans l’intérêt des salariés. Parce que c’est avec le collectif que nous avançons, et c’est aussi avec vous, salariés, que nous construisons les revendications que nous défendons à bras-le-corps auprès de la direction au sein du CSE et lors des négociations collectives.

Un an de travail concret et d’engagement

Depuis le début de cette mandature, soit un an, nous avons été présents sur tous les fronts. Voici les faits, et ils parlent d’eux-mêmes :

• Actifs dans toutes les commissions, avec des contributions constructives pour défendre les droits et les intérêts des salariés.
• Déclenchement d’alertes précises et nécessaires, chaque fois que la santé, la sécurité ou les droits des salariés étaient menacés.
• Un accompagnement constant des salariés, qu’il s’agisse de conseils, de soutien lors d’entretiens disciplinaires, de licenciement, de rupture conventionnelle, ou d’un simple besoin d’écoute.
• Des expertises reconnues en matière d’égalité professionnelle, Risques graves… pour mettre la direction face à ses responsabilités et que l’entreprise respecte ses engagements en faveur de l’équité et le bien-être de ses salariés.
• Une mobilisation sur les risques psychosociaux, avec des actions concrètes pour protéger la santé et la sécurité de nos collègues

Ce travail, réalisé parfois dans l’ombre mais essentiel, démontre que nous sommes une force fiable, constructive et tournée vers l’intérêt collectif.

Quand l’inaction s’habille de bruit !

Malheureusement, notre engagement n’est pas partagé par tous. Tandis que nous agissons pour des avancées tangibles, le syndicat « d’entreprise » S3I, bien que minoritaire, s’illustre par des comportements contre-productifs :

• Attaques gratuites ignobles et calomnies, contre les autres élus et organisations syndicales, souvent basées sur des rumeurs ou des mensonges.
• Intrusions inacceptables dans la vie privée des salariés ou des représentants.
• Absence totale de propositions concrètes sur les bas salaires, mais défense des primes variables pour une minorité de salariés. C’est insuffisant pour répondre aux besoins réels de tous.

Cette stratégie qui divise alors qu’il faudrait co-construire semble parfois encouragée par une complicité implicite du management y trouvant un intérêt stratégique à affaiblir la cohésion et l’efficacité des représentants du personnel.

D’ailleurs, est-ce ça un syndicat ? est-ce son rôle de passer tout son temps, comme le pratique S3i depuis plus de 5 ans, à s’évertuer à vouloir salir sans aucun scrupule et à chercher à discréditer les autres organisations syndicales respectables ? tout le monde a et connaît la réponse … 3 fois NON !!!

Un engagement clair de La CGT : agir pour vous et avec vous

Dans ce contexte, notre position reste claire : nous refusons de jouer le jeu des querelles stériles et des manœuvres de bas étages. Nous sommes là pour agir, et nous le faisons avec transparence et détermination.

Nos priorités sont simples :

• Défendre tous les salariés, dans toutes les situations, même les plus complexes.
• Exiger des avancées durables, avec des revalorisations salariales justes, des conditions de travail améliorées et des mesures structurelles pour répondre aux besoins de tous.
• Favoriser les négociations collectives constructives, basées sur le respect, la transparence et l’intérêt collectif sans compromis, tout en restant indépendant face à la direction.

Nous croyons en un travail collectif, où chaque contribution, qu’elle vienne d’un salarié ou d’un autre syndicat, permet d’avancer dans la bonne direction.

…Et la caravane passe !!!

Les attaques, les rumeurs et les tentatives d’intimidation ne nous dévieront pas de notre cap. Nous avons choisi de travailler pour des résultats concrets, et c’est ce que nous continuerons à faire.

« Quels que soient la force, la direction des vents ou l’aboiement des chiens, la caravane passe »

L’année 2025 s’annonce compliquée pour tous, mais en particulier pour nos collègues en 3e partie de carrière. Parmi eux, certains ont déjà fait les frais des choix qui semblent être assumés par la direction ou sont en passe de les subir.

Les difficultés d’évolution professionnelle, les risques de précarisation, et l’angoisse croissante face à un avenir incertain sont des réalités auxquelles nous faisons et ferons face. Nous sommes et serons à leurs côtés pour défendre leurs droits, préserver leur parcours et garantir des conditions de travail dignes, quel que soit leur âge ou leur ancienneté. Le combat pour la reconnaissance des seniors n’est pas une option, c’est une nécessité.

Nous appelons chaque collègue à examiner les faits, à évaluer notre action et à renforcer la lutte collective pour un avenir plus solidaire. Ensemble, défendons nos droits, préservons nos acquis, exigeons des conditions de travail dignes et posons les bases d’un modèle de société plus juste et plus humain.

Vos représentants de l’intersyndicale CGT-Solidaires vous souhaitent de très bonnes fêtes de fin d’année

Situation des intercontrats en IDF Résolution du CSE I2S

Le CSE I2S a donné un avis favorable à la résolution votée le 27 novembre 2024.

« Les élus du CSE constatent depuis plusieurs semaines que les salariés I2S et plus particulièrement les salariés de l’agence IDF3 et plus récemment IDF1, curieusement les séniors, qui se trouvent en intercontrat, sont contraints de venir dans un open-space sans qu’aucun travail ne leur soit donné. Par ailleurs, les salariés présents dans l’open-space se sentent surveillés par un manager, que la Direction n’a pas daigné présenter. Cette situation est perçue comme vexatoire, humiliante, dégradante, et génère manifestement de nombreux troubles chez les salariés concernés. Ceci est confirmé par de nombreux témoignages de salariés en grande souffrance, et affectés par cette situation. Plus grave encore, le 2 octobre, un salarié a fait un malaise sans que le responsable n’agisse ou même n’alerte la médecine du travail. Du fait de la gravité de la situation, ce sont deux collègues qui ont pris l’initiative d’emmener le salarié à l’infirmerie laquelle a dû faire intervenir les pompiers. Les élus au CSE vous rappellent que l’employeur a l’obligation de fournir du travail à ses salariés, et qu’il ne peut s’en affranchir. Le 13 novembre, un élu du CSE et membre de la CSSCT a donc déclenché une procédure de droit d’alerte pour atteinte aux droits des personnes, à leur santé physique et mentale ou aux libertés individuelles dans le cadre de l’article L2312-59 du Code du Travail. Le président de la CSSCT et représentant de la direction Juridique Social n’a pas accepté cette demande considérant que : « Ce sujet relève de la compétence des RP du périmètre concerné et que l’enquête conjointe pourra donc être conduite avec le RP du site de Latitude qui portera cette alerte » Si notre accord d’entreprise sur l’organisation des IRP prévoit que : « les RP se voient confier par les CSEE, les missions suivantes au sein de leur Périmètre de Proximité : – Exercer le droit d’alerte auprès du représentant de la Direction en cas d’atteinte aux droits des personnes et en cas d’atteinte à la santé physique et mentale des salariés dans les conditions définies par le Code du travail, mener l’enquête conjointe et reporter à la CSSCT. » Celui-ci ne retire en aucun cas cette prérogative aux membres du CSE et de la CSSCT. Il en va de la responsabilité de la Direction, comme définit à l’article L2312-59 de « déclencher l’enquête sans délai avec le membre de la délégation du personnel du comité » qui a déclenché la procédure. Les élus au CSE demandent à la Direction : – de prendre les mesures nécessaires pour faire arrêter ce dispositif (par exemple organiser une réunion hebdomadaire d’intercontrat comme cela se faisait par le passé, où les salariés, les commerciaux et le manager pouvaient échanger sur les opportunités de mission) qui génère des risques pour la santé des salariés concernés – d’organiser sans délai l’enquête rapidement avec le membre de la délégation du personnel du comité à l’origine de l’alerte »

Un retour à l’ancienne organisation

Par régions en 2025

Déclaration de l’Intersyndicale CGT-Solidaires Sopra Steria au CSE d’I2S du 25 septembre 2024 sur le projet d’organisation ICS 2025

L’intersyndicale CGT-Solidaires Sopra Steria souhaite attirer l’attention sur l’impact psychologique des réorganisations en cours, notamment la transformation prévue pour 2025 au sein d’ICS (I2S). Si nous comprenons la nécessité d’adapter l’organisation aux évolutions du marché, il est important de rappeler que cette réorganisation s’inscrit dans une série de transformations fréquentes qui ont déjà pesé sur les salarié.e.s ces dernières années.

Nous sommes préoccupés par la fréquence et l’intensité de ces changements, ainsi que par leurs conséquences sur les conditions de travail et la santé mentale des salarié.e.s. Tout d’abord, l’intersyndicale CGT-Solidaires Sopra Steria est particulièrement préoccupée par l’augmentation du stress et de l’anxiété (situations RPS et malaise des salarié-e-s). La réorganisation rapide des équipes, des structures, et des responsabilités crée un climat d’incertitude et de pression qui peut affecter négativement la santé mentale et physique des salarié.e.s. Suite…

La répétition de ces transformations, sans une écoute et un accompagnement adapté, risque d’aggraver ces effets délétères. Ensuite, nous craignons que la charge de travail accrue et les exigences en termes de montée en compétence pèsent lourdement sur les salarié.e.s. Les nouvelles compétences à acquérir dans des domaines tels que le cloud, la cybersécurité et l’intelligence artificielle exigent des efforts supplémentaires.

Malheureusement, les ressources nécessaires en termes de formation ou de soutien ne sont pas toujours mises à disposition de manière claire et suffisante. Par ailleurs, la perte de repères due à ces transformations répétées et l’instabilité organisationnelle qui en découle pourraient entraîner une résistance au changement. Nous estimons qu’il est essentiel de mettre en place des mécanismes de soutien adaptés pour aider les salarié.e.s à mieux gérer ces transitions, sans quoi l’engagement et la motivation risquent d’en être gravement affectés. L’intersyndicale CGT-Solidaires Sopra Steria insiste également sur la nécessité d’une communication plus transparente et régulière avec l’ensemble des salarié.e.s.

Trop souvent, les réorganisations sont perçues comme imposées d’en haut, sans que les raisons ni les objectifs ne soient suffisamment expliqués. Un dialogue renforcé, incluant la prise en compte des retours des salarié.e.s, est indispensable pour apaiser les tensions et garantir une transition plus fluide. L’intersyndicale CGT-Solidaires Sopra Steria appelle la direction à prendre pleinement en considération l’impact humain de ces réorganisations et à mettre en place des mesures d’accompagnement adéquates : soutien psychologique, adaptation de la charge de travail et programmes de formation cohérents. Il est essentiel que l’humain reste au cœur de ces transformations pour assurer un avenir où la croissance de l’organisation n’est pas compromise par la détérioration du bien-être des salarié.e.s.

Fin de la declaration.

En effet, les élus de l’intersyndicale craignent :

• L’impact psychologique Les conséquences sur la santé mentale (stress & anxiété en augmentation) des salariés de cette énième réorganisation.
• Un climat d’incertitude et de pression dû à la réorganisation rapide des équipes, des structures, et des responsabilités.
• Une charge de travail accrue et des exigences en termes de montée en compétence qui pèsent lourdement sur les salarié.e.s. 
• Les efforts supplémentaires à fournir pour l’acquisition de nouvelles compétences sans mise à disposition des ressources de formation nécessaires.
• La perte de repères à cause de ces transformations répétées et l’instabilité organisationnelle qui pourraient entrainer une résistance au changement.

Les élus de l’intersyndicale demandent :

• Que des communications plus transparentes et régulières soient faites aux salariés pour expliquer la nécessité des réorganisations.
• Une prise en compte par la direction de l’impact humain de ces réorganisations.
• La mise en place d’un accompagnement :
  • Soutien psychologique
  • Adaptation de la charge de travail

Droit d’alerte économique

Résolution du CSE SSG sur proposition de l’intersyndicale

Le CSE Sopra Steria Group constate depuis plusieurs mois une augmentation préoccupante du nombre de ruptures conventionnelles (164 en 8 mois), qui pourrait avoir des conséquences sur le plan économique, social et de l’emploi.

Nous constatons les éléments préoccupants suivants concernant les ruptures conventionnelles:

• plusieurs ruptures conventionnelles proposées par l’employeur après des entretiens informels;
• dépassement tous les mois depuis janvier (à l’exception du mois de février) du seuil couramment mis en place par les DREETS (nombre important de ruptures conventionnelles sur une période de 30 jours);
• suspicion de manœuvres dolosives dans certaines situations ;
• procédures qui semblent cibler principalement des salarié.es séniors.

 D’autre part, le contexte économique de l’entreprise est défavorable comme en témoigne l’avertissement sur le chiffre d’affaire émis en juin et les observations de terrain :

• gel des recrutements sur plusieurs sites;
• diminution drastique des embauches de stagiaires;
• fermeture de certains sites dans l’est de la France;
• fort taux d’inter-contrat qui varie constamment entre 300 et 400 salarié.es;
• prévisions économiques mauvaises;
• objectif NextGen à 30% (du CA) en 2027;
• contexte économique morose sur la branche;
• diminution de l’équipe de recrutement sur toute la France et réaffectation de certain MRH à des postes opérationnels (annoncé par la DRH en CSE). Suite…

 Malgré ces alertes, l’entreprise maintient son objectif de ROA 2024 à 9,7%.

Tous ces éléments nous portent à croire que l’entreprise cherche à réduire la masse salariale en réponse au contexte économique.

 Pour répondre à leurs préoccupations et afin d’obtenir des réponses précises et complètes, les élu.es du CSE Sopra Steria Group demandent le déclenchement d’un droit d’alerte économique au titre de l’article L2312-63 du code du travail. Le CSE Sopra Steria Group n’étant pas compétant sur ce domaine, nous demandons au CSE central de mettre en œuvre ce droit d’alerte.

Sopra Steria : Priorités aux actionnaires

Et nous dans tout ça ?

Sopra Steria vient d’annoncer un programme de rachat d’actions d’un montant de 150 millions d’euros, une somme qui sera directement prélevée des caisses de l’entreprise. Ce programme vise à enrichir les actionnaires en annulant ces actions rachetées, augmentant ainsi la valeur des actions restantes. Pendant ce temps, les salariés continuent à faire tourner l’entreprise, mais à quel prix ?

Multiplication des ruptures conventionnelles

La direction nous explique que la situation économique est compliquée et utilise ce prétexte pour multiplier les ruptures conventionnelles, favorisant ainsi la sortie de nombreux salariés. Pourtant, il est évident que l’argent est bien là : 150 millions pour racheter des actions et faire plaisir aux actionnaires, mais pas un centime pour améliorer nos conditions de travail ou répondre à nos revendications. suite…

Où sont nos augmentations ?

• 150 M€ pour les actionnaires, mais toujours rien pour les salariés !
• Pendant que le coût de la vie continue d’augmenter, la direction prétend ne pas avoir les moyens d’accorder des augmentations substantielles.

Pourquoi un tel programme ?

Ce rachat d’actions intervient après la cession des activités de Sopra Banking Software, qui a rapporté 410,5 M€ au groupe. Plutôt que d’utiliser cette somme pour investir dans les salariés ou sécuriser l’emploi, la priorité est de récompenser les actionnaires.

Deux discours, une même réalité

Alors que la direction nous explique que la conjoncture est difficile et qu’il faut serrer la ceinture, elle trouve facilement les moyens de lancer un programme de rachat d’actions. Ce double discours est inacceptable : on nous pousse à accepter des ruptures conventionnelles, on nous explique que l’avenir est incertain, mais l’entreprise n’hésite pas à verser des millions pour choyer ses actionnaires !

Notre travail mérite plus !

La CGT rappelle que sans les salariés, il n’y a pas de profit. Nous demandons :

• Des augmentations de salaires immédiates, en lien avec la richesse créée par le travail des employés.
• Des embauches pérennes pour stopper l’hémorragie et alléger la surcharge de travail.
• Une meilleure redistribution des bénéfices vers ceux qui sont à l’origine de cette richesse : les salariés.

Restez mobilisés !

Ne laissons pas la direction continuer à enrichir les actionnaires sans répondre à nos besoins essentiels. Nous devons exiger des comptes et réclamer notre part légitime des bénéfices.

Syndiquez-vous à la CGT pour défendre vos droits !

!!!1er OCTOBRE APPEL A LA GREVE!!!

Mépris de démocratie ! La nomination de Michel Barnier comme Premier ministre tourne le dos au vote des Françaises et des Français : non seulement Emmanuel Macron ne tient pas compte du Nouveau Front Populaire qui a empêché l’extrême droite d’arriver au pouvoir, mais les reculs sociaux, rejetés dans les urnes, vont se poursuivre et risquent même de s’aggraver avec le soutien du RN. Lire la suite

PARIS 1 octobre – 14H PLACE DENFERT ROCHEREAU

SAINT-ETIENNE 1 octobre – 10H30 BOURSE DU TRAVAIL

ROANNE 1 octobre – 10H30 CENTRE HOSPITALIER

LYON 1 octobre – 11H30 Manufacture des Tabacs

NICE 1 octobre – 10H PLACE MASSENA

BORDEAUX 1 octobre – 11H30 PLACE DE LA REPUBLIQUE

TOULOUSE 1 octobre – 14 HPLACE JEAN JAURES

MARSEILLE 1 octobre – 10H30 VIEUX PORT

LILLE 1 octobre – 14H30 PORTE DE PARIS

Pour connaitre les rassemblements dans les autres Villes …

Suite DGI Roanne

1. Aujourd’hui il n’existe pas de chiffres précis sur l’impacte du bisphénol A dans l’air ambiant, à l’exception des entreprises utilisant ce genre de produits toxiques. Nous avons été informés que dans notre secteur le taux de bisphénol A n’a aucune raison d’être présent.
2.  La direction souhaite fermer le DGI, mais des analyses doivent être encore réalisées notamment celles du sol extérieur sur le site. Il y a des industries lourdes à proximité de ce site, quelles investigations ont été faites dans ces entreprises ?
3. Les salarié-e-s non pas été informé par la direction d’une part des résultats, d’autres part des précautions à prendre, comme se rapprocher de leurs médecins traitants. La CGT dénonce ce manque d’implication de la direction sur la santé de son personnel.
4. Aujourd’hui les causes de cette exposition ne sont toujours pas connues.

En conclusion, la direction refuse de communiquer les éléments par mail aux instances représentatives du personnel. Plus scandaleux, cache les choses aux employé-e-s concerné soi-disant pour éviter la panique, au mépris de toutes règles de précautions !

Affaire à suivre…

La Suite augmentation des salaires 09/24

Sans parler du Crédit Impôt Recherche (CIR) qui permet à Sopra Steria de bénéficier d’une aide conséquente.

Ces aides aux entreprises françaises visent la baisse du « coût du travail » mais l’efficacité est très discutable au regard des objectifs allégués.

En effet, le nombre d’emplois réellement créés depuis la mise en place du CICE en 2013 est très en dessous des chiffres prévisionnels. Pourtant, Il aura coûté à la collectivité de près de 100 milliards d’euros.

Il faut mettre des conditions sur ces aides aux entreprises qui versent des dividendes.

Il est inconcevable qu’une partie de financement de l’Etat alimente une rente financière qui ne prend aucune part contributive à la production de biens publics.

Notre syndicat s’inscrit dans la revendication de notre confédération en ce qui concerne les aides publiques :

« La CGT revendique la mise en place pérenne de structures de suivi et d’évaluation des aides publiques versées aux entreprises. Des prérogatives nouvelles doivent être reconnues aux organisations syndicales, au niveau national, régional, dans les entreprises. Elles sont des actrices incontournables, des expertes en matière d’évaluation des aides publiques, de leur suivi et de leur contrôle, tant au plan national, régional, local qu’au niveau d’une entreprise ou d’un groupe. »

Concernant le travail des salarié.e.s,

La CGT Sopra Steria demande des augmentations générales

Face à l’extrême droite, le front populaire !